Ce que tout vazaha a déjà fait une fois (ou fera bientôt) :
- Aller nager à la piscine du Carlton.
- Faire un spa au Palissandre.
- Un massage au chocolat (qui coute le salaire minimum mensuel malgache) au Palissandre.
- Aller choper de la malgache au Pandora.
- Partir en week-end à Nosy Be, Diégo, Mahajanga, Tamatave, Sainte-Marie ou encore Fort-Dauphin (en avion), ou à Andasibe, Anstirabe, Fianarantsoa (en 4x4).
- Constater et médire sur la mollesse d’esprit des malgaches et élaborer des explications douteuses quant à ce problème social.
- Faire un pique-nique chez un ami vazaha.
- Boire de la THB.
- Manger un pavé de zébu ou du très bon foie gras malgache tellement pas cher !
- Aller au Duty Free pour acheter du champagne.
- Se faire appeler vazaha par un gamin de la rue et l’insulter pour qu’il lâche la portière et le laisse tranquille.
- Se faire harceler par des hordes de vendeurs aux marchés aux touristes.
- Acheter des statues en bois.
- Acheter des couverts à salade en corne de zébu.
- Regarder méprisamment un SDF sale, unijambiste et malade sur le bord de la route en accélérant nerveusement (et en l’insultant accessoirement).
- Failli emboutir un taxibé.
- Se bourrer la gueule en centre ville et rentrer complètement ivre en voiture jusqu’à chez lui.
- Se faire cambrioler (par un inconnu ou par un connu, genre la femme de ménage).
- Rater un gros contrat à cause de l’incompétence d’un malgache qu’il virera prestement.
- Se faire arrêter par des policiers, de nuit, mais ne pas s’arrêter.
- Failli écraser des dizaines de personnes qui traversaient n’importe comment lorsqu’il était en voiture (accessoirement, en avoir tué ou renversé méchamment un ou deux).
- S’énerver dans les embouteillages.
- Respirer les pots d’échappement (oups, il avait oublié la clim !).
- Se plaindre sur sa condition d’expatrié et jalouser le voisin, le copain.
- Critiquer la politique du pays dans lequel il s’est expatrié.
- Critiquer la politique de son pays d’origine.
- Aller à une réception de l’ambassadeur français pour la fête nationale française (dont les malgaches n’en n’ont rien à faire).
- Partir dans un autre pays sous-développé et… tout recommencer.
- Aller nager à la piscine du Carlton.
- Faire un spa au Palissandre.
- Un massage au chocolat (qui coute le salaire minimum mensuel malgache) au Palissandre.
- Aller choper de la malgache au Pandora.
- Partir en week-end à Nosy Be, Diégo, Mahajanga, Tamatave, Sainte-Marie ou encore Fort-Dauphin (en avion), ou à Andasibe, Anstirabe, Fianarantsoa (en 4x4).
- Constater et médire sur la mollesse d’esprit des malgaches et élaborer des explications douteuses quant à ce problème social.
- Faire un pique-nique chez un ami vazaha.
- Boire de la THB.
- Manger un pavé de zébu ou du très bon foie gras malgache tellement pas cher !
- Aller au Duty Free pour acheter du champagne.
- Se faire appeler vazaha par un gamin de la rue et l’insulter pour qu’il lâche la portière et le laisse tranquille.
- Se faire harceler par des hordes de vendeurs aux marchés aux touristes.
- Acheter des statues en bois.
- Acheter des couverts à salade en corne de zébu.
- Regarder méprisamment un SDF sale, unijambiste et malade sur le bord de la route en accélérant nerveusement (et en l’insultant accessoirement).
- Failli emboutir un taxibé.
- Se bourrer la gueule en centre ville et rentrer complètement ivre en voiture jusqu’à chez lui.
- Se faire cambrioler (par un inconnu ou par un connu, genre la femme de ménage).
- Rater un gros contrat à cause de l’incompétence d’un malgache qu’il virera prestement.
- Se faire arrêter par des policiers, de nuit, mais ne pas s’arrêter.
- Failli écraser des dizaines de personnes qui traversaient n’importe comment lorsqu’il était en voiture (accessoirement, en avoir tué ou renversé méchamment un ou deux).
- S’énerver dans les embouteillages.
- Respirer les pots d’échappement (oups, il avait oublié la clim !).
- Se plaindre sur sa condition d’expatrié et jalouser le voisin, le copain.
- Critiquer la politique du pays dans lequel il s’est expatrié.
- Critiquer la politique de son pays d’origine.
- Aller à une réception de l’ambassadeur français pour la fête nationale française (dont les malgaches n’en n’ont rien à faire).
- Partir dans un autre pays sous-développé et… tout recommencer.